La ville lance une pétition sur la sécurité
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Les Châtillonnaises et Châtillonnais ont le droit à la sécurité !
Face aux insuffisances de l’État au métro Châtillon-Montrouge, nous demandons plus de moyens pour notre Ville : les Châtillonnaises et Châtillonnais ont le droit à la sécurité !
Depuis un an, la Ville de Châtillon se mobilise pour faire face à la dégradation de la situation dans le quartier Maison Blanche en raison du développement des trafics au métro Châtillon-Montrouge. Ces trafics divers mais essentiellement liés à la vente de cigarettes se sont progressivement installés depuis 2018 sans que rien ne soit fait pour les stopper.
La Ville de Châtillon agit désormais avec détermination :
- augmentation du nombre de policiers municipaux ;
- accroissement de la présence de la Police Municipale sur place et du nombre d’opérations « coup de poing »;
- réparation du système de caméras de surveillance et préparation d’un investissement pour renforcer le réseau ;
- acquisition d’un local en annexe de la Police Municipale en face de la station de métro.
Cela coûte énormément d’argent à la Ville alors que la sécurité est une compétence de l’État.
Afin d’alerter et de mobiliser l’État, Madame la Maire de Châtillon, Nadège Azzaz, et son adjoint à la sécurité, ont multiplié les démarches et ont rencontré le Cabinet du Ministre de l’Intérieur et le Préfet de Police de Paris. Des réunions de coordination à l’initiative de la Ville ont été organisées avec la Préfecture, la Sous-Préfecture, les forces de police, la RATP, et les polices municipales voisines.
Malgré le volontarisme et l’engagement de notre Police Nationale, les moyens mobilisés par l’État sont insuffisants pour la circonscription Châtillon-Montrouge.
- C’est l’État qui doit assurer l’ordre public.
- C’est l’État qui peut arrêter les fauteurs de troubles.
- C’est l’État qui peut enquêter sur les réseaux et mettre à bas les trafics et la traite d’êtres humains.
La Ville de Châtillon ne pourra pas seule mettre fin à cette situation et chacun doit prendre sa part dans cette lutte.
Nous demandons donc au gouvernement de prendre ses responsabilités et de mobiliser les moyens nécessaires pour agir aux côtés de notre commune.